Démarrés depuis le septembre 2012, les travaux de la 2ème session du Conseil Economique, Social et Culturel (CESC) ont pris fin le mercredi 19 septembre 2012 dans la grande salle de réunion du ministère des Affaires Etrangères et de l’Intégration Africaine. Cette cérémonie de clôture a été présidée par le ministre du Plan, représentant le Premier ministre, Chef du Gouvernement.

Clôturant les travaux de cette 2e session, le Président du CESC, M. Lamana Abdoulaye a d’abord rappelé aux invités le thème de cette 2e session qui a servi de base à tous les travaux. Deux semaines durant, explique le président du CESC, les conseillers de la République ont analysé la situation du football au Tchad. Et ce, depuis la formation des équipes, le recrutement des joueurs, leur encadrement, les conditions d’entraînement, leur prestation sur le terrain, etc.
En ce qui concerne notre Onze national, ils ont passé au peigne fin tous les problèmes qui se posent à l’équipe nationale et qui l’empêchent d’aller de l’avant. Malgré les moyens colossaux mis par le Gouvernement pour promouvoir ce sport roi, les Sao du Tchad volent d’échec en échec, créant ainsi la désolation sinon la honte de tout un peuple.
De ces échanges fructueux avec les représentants du ministère de la Jeunesse et des Sports, la Fédération Tchadienne de Football, le comité olympique sportif tchadien et autres professionnels de cette discipline reine, il ressort que le football tchadien est malade, très malade. Depuis toujours les diagnostics se font. Les résultats sont aussi connus. Seulement on n’arrive pas à administrer la thérapie qu’il faut. Tout le problème réside au niveau de l’organisation et de la gestion. Hormis ces deux problèmes, il faut reconnaître également que dans notre pays, il n’existe pas encore une véritable politique en matière de football. Ajouter à cela, le manque des structures adéquates favorisant l’éclosion de ce sport roi, la mésentente entre acteurs, dirigeants, encadreurs, supporters et autres.
Il faut donc repartir sur des nouvelles bases solides et saines. Si l’on veut réellement faire éclore le football tchadien, il faut absolument une politique à la base avec des pépinières. Opérer aussi une sélection de l’équipe nationale, non pas seulement en se limitant aux seuls joueurs de N’Djaména, mais également ceux des provinces. Bref organiser un véritable championnat national. « Et au fur et à mesure, ces jeunes espoirs qui excellent dans des différentes écoles ou clubs de formation de football peuvent venir renforcer cette sélection », ont suggéré les conseillers de la République.
Là n’est pas tout. Plusieurs autres pistes de solutions ont été suggérées par les Conseillers aux plus hautes autorités de ce pays afin de pourvoir le sport roi au Tchad. La création d’un Fonds National de Développement du Sport est une option qui cadre bien avec cette nouvelle politique sportive que veut prôner le CESC. M. Lamana Abdoulaye a particulièrement mis l’accent sur le travail remarquable abattu par les conseillers de la République en si peu de temps. Tout en leur souhaitant bon retour chez eux, dans leurs lieux respectifs, il les exhorte à toujours donner le meilleur d’eux-mêmes en pareille circonstance.

" les stades en construction ne repondent pas aux normes internationales"

Le maire de la ville de N’Djamena Issa Adjidei, accompagné du Secrétaire Général du Ministère de la Jeunesse et des Sports Makouta Kodé et du directeur de l’Office National des Sports Tahir Togou Djimet, a visité lescinq stades en construction dans la ville de N'Djamena à savoir le complexe sportif de Gaoui, le palais des sports, stade ouvert dans le 8ème arrondissement, le stade du rond point du 10 octobre dans le 7ème arrondissement, la gymnase de Paris Congo dans le 6ème arrondissement et le stade de Farcha dans le 1er arrondissement.
L’objet de cette descente sur le terrain est de constater de visu l’état d’avancement de ces travaux.

A Gaoui, c’est un complexe sportif qui comprend une salle de gymnastique, une salle de formation, deux parkings, un château d’eau, un bâtiment de jeu et une grande salle de réunion. Les travaux ont démarré en décembre 2011 et ont été confiés à l’entreprise Al Hila. Le coût global pour la réalisation de cet ouvrage est de 2 milliards 732 millions y compris les équipements.


A N’Djari, il y a un palai des sports et un stade ouvert. Le stade abrite un terrain mixte de handball, basket-ball et volley-ball. 4 vestiaires ont été construits. Il y a aussi une salle et un restaurant VIP, un terrain de football qui peut contenir 10.800 places assises et des toilettes. C'est l’entreprise ATAR qui s'occupe des travaux de construction pour un coût global de 6 milliards 563 millions de Frs Cfa. Les travaux ont démarré en février 2010.


Les stades du rond point du 10 octobre dans le 7ème arrondissement, de Farcha dans le 1er arrondissement et la gimnase de Paris Congo dans le 6è arrondissement ont un coût global de 3 milliards 700 millions de Frs Cfa. Les travaux de ces stades ont été confiés à l’entreprise SETUBA.

Tous ces stades visités ont été financés par le projet présidentiel.


Après cette visite, le maire de la ville de N’Djamena Issa Adjidei se dit très surpris, car ces infrastructures sportives ne répondent pas aux normes internationales. les terrains de football ne répondent pas à la convention. "Nous avons constaté que le stade de Farcha ne possède pas de pelouse synthétique. C’est purement et simplement de gazons naturels », lance-t-il. Néanmoins, le premier magistrat de la ville de N’Djamena entend appeler les entreprises concernées à procéder à des modifications de leur plan pour que nos stades répondent à ceux recommandés par la FIFA.

L’école de football « Club Africain » évalue ses poulains

Les responsables du centre de formation de football « Club Africain » ont organisé le samedi, 17 mars 2012 au terrain de poste sis au quartier klemat, la finale de la coupe dénommée Oumar Abdallah Labine. L’organisation de cette coupe intervient après deux semaines de compétition en interne évaluative à laquelle ont pris part tous les poulains de différentes catégories. La finale qui a mis aux prises Football Club de Goudji au Club Africain. Elle a été remportée par les jeunes de Goudji sur le score de 1-0.

Grace à l’encadrement de leurs coachs, les jeunes joueurs des deux clubs ont démontré au grand public leurs talents et performances, qui feront d’eux, comme l’affirme un spectateur, des futurs footballeurs sur lesquels le Tchad peut compter. Des techniques élémentaires basiques à la véritable maitrise du jeu, les poulains du centre de formation « Club Africain », rassurent à travers leur touche de ballon que leur séjour au centre n’est pas du tout repos. Ils s’entrainent chaque jour en alliant endurance, physique, technique et tactique. « Des méthodes dignes du centre de formation de football de Monaco en France », informe Mahamat Issa, un membre de l’encadrement technique.

En remettant le trophée à l’équipe gagnante (FC de Goudji), Oumar Abdallah Labine, Conseiller communal du 2ème arrondissement a indiqué que c’est par le football à la base que le Tchad pourra constituer une solide équipe nationale. « Nous sommes en train de montrer en exemple que le football peut aussi s’apprendre dans une structure organisée comme le centre de football « Club Africain ».

Le responsable dudit centre, Tahir Zakaria a informé que les jeunes joueurs de son organisation sont recrutés à travers toute la ville de N’Djamena. Leur âge varie entre 13 à 17 ans. Pour Tahir Zakaria, le football est devenu aujourd’hui, un alliage entre le dynamisme individuel, les performances collectives, la force créative, autant d’atouts qui sont enseignés dans ce centre.

Les meilleurs apprenants qui se sont fait distinguer pendant la compétition en interne ont reçu, des mains des autorités et autres responsables du centre, plusieurs cadeaux. Très enclins à la responsabilité et à l’émergence de notre pays à travers le football, les dirigeants du centre de formation « Club Africain » ont rassuré qu’ils se mettront davantage au service de leur organisation.

Hassan Adoudou Bao

A l’issue de l’assemblée générale de ASCOT, tenue le 29 décembre 2011 dans les locaux de son Bureau annexe de la COTONTCHAD à Ndjaména, la nouvelle équipe dirigeante se présente comme suit :

Ø Président d’honneur : MAHAMAT ISMAEL,PDG de la Cotontchad

Ø Président : ADOUM FAKI

Ø 1^er Vice Président, ABDOULAYE KOUMBO DOGRA

Ø 2^e Vice Président, AHMAT IMANE

Ø Secrétaire Général, ATOM HASSAN

Ø Secrétaire Général1^er Adjoint NAINDOUBA ERIC

Ø Secrétaire Général 2^e Adjoint MAJI-MAJI ODJITAN

Ø Trésorier Général, ODINAN OUEDDO

Ø Trésorier Adjoint, ABAKOURA ADAM

Ø Conseillers:

1. NDOUBA MADIBE
2. DJIMOUTEDE GASPARD
3. MAHAMAT SOULEYMAN
4. AHMAT ABDERAMAN
5. MAHAMAT ALI

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Plus nantis et plus structurés, avec un encadrement professionnel qualifié, les footballeurs africains qui évoluent dans les clubs européens, y trouvent un cadre idéal de formation et de perfectionnement. Recrutés sur la base d’un contrat bien ficelé, professionnels ou amateurs, ils exercent dans des formations plus nanties et plus structurées où ils peuvent exprimer pleinement toutes leurs qualités et leurs talents. Liés aux clubs par des contrats divers, les joueurs sont soumis à des exigences et obligations de résultats. Les prouesses qu’ils réalisent dans les différents championnats et coupes le confirment.

Dans les équipes nationales, la problématique est tout autre. Contrairement aux clubs, il n’y a pas de contrat formel qui lie chaque joueur à sa fédération, autorité de tutelle de l’équipe nationale. Cependant, il est possible de prévoir dans les règlements de chaque fédération des dispositions relatives aux sélections et fonctionnement qui s’imposent à tous. Par exemple, la convocation d’un joueur en équipe nationale répond, en tout premier lieu, à une exigence : celle de représenter son pays à l’extérieur et de défendre ses couleurs. C’est dans cette perspective qu’il est fait appel aux meilleurs pour constituer l’équipe, et notamment les footballeurs exerçant à l’étranger, pour leur expérience et leurs talents reconnus.

Dans le cas actuel du Tchad, le choix fait par la FTFA et l’Etat, de soutenir à fond, avec des moyens conséquents, l’équipe nationale dans sa quête d’un titre au niveau de la sous-région (CEMAC) et d’une qualification à une phase finale de la CAN et/ou de la Coupe du Monde, témoigne de l’attention particulière portée au football. Cela s’est traduit par "beaucoup d’opportunités offertes aux SAO" comme disait le ministre des sports dans son bilan de l’année 2010. On peut même se réjouir qu’il y ait beaucoup de jeunes qui pratiquent le football, ce qui augure un lendemain meilleur.

Cependant, il est navrant de constater qu’aucun vrai talent n’émerge pour donner de l’espoir. Et le niveau moyen souvent décrié du championnat national, tout comme l’élimination prématurée des meilleurs clubs tchadiens en compétitions africaines ne contribuent pas à une formation complète de nos footballeurs. Ce qui fait souvent regretter avec un brin de nostalgie, le temps où le football tchadien avait un niveau intéressant, même s’il n’a rien gagné de significatif, avec ses meilleurs éléments tels que Mahamat Augustin, Nambatingué Tokomon, David Danimbé en France et Abdoulaye Mahamat, N’Doram Japhet, Abdel Aziz au Cameroun. La vérité, c’est que les SAO d’aujo urd’hui sont constitués de joueurs de niveau moyen et dépourvus d’expérience de la haute compétition. D’où cette absence au sein de l’équipe d’un talent dominant qui se poserait en leader.

Aujourd’hui, à part Azrak Mahamat Adoum qui évolue en Espagne, les footballeurs tchadiens de l’étranger, sur qui repose un grand espoir, ne sont pas d’un bon niveau. Lorsqu’on observe de près les équipes dans lesquelles ils évoluent, les championnats et le temps de jeu offert à chacun, cela ne correspond pas à la pratique d’un haut niveau de football dont l’expérience serait profitable à notre équipe nationale. C’est peut-être l’une des explications de leur bilan mitigé au sein des SAO. Ce n’est pas la promesse des primes alléchantes et le sentiment patriotique rappelé sans cesse comme motivation, qui constitueront le facteur déterminant pour réaliser une performance exceptionnelle.

Ce constat n’est d’ailleurs pas nouveau. La FTFA doit opérer une véritable réforme du football tchadien qui ne se limite pas seulement aux équipes nationales, mais à l’ensemble de son organisation. En mettant en place ces derniers temps, des groupes de réflexion et de concertation, on peut penser qu’elle prend enfin les choses en main. Le travail de détection entrepris par la direction technique nationale sur l’ensemble du territoire est une première étape qu’il faut encourager et soutenir.

 

MAHAMAT ADOUM Tidjani

guinassou tidjani kcapi

etudiant en telecom au togo

01/03/2011 -  TIVI NDjam 2e édition est terminée

Les lampions se sont définitivement éteints le dimanche 27 février 2011 sur les activités sportives de la 2e édition du TIVI- NDjam (Tournoi International de la Ville de N’Djamena). C’était au Ministère des Affaires Etrangères, de l’Intégration Africaine et de la Coopération Internationale, en présence du représentant du Ministre de la Culture, Jeunesse et Sport, celui de la Fédération International de Judo et du Secrétaire Général de l’Union Africaine de Judo. Sur 13 pays initialement conviés à cette 2e édition du TIVI NDjam 3 pays étaient présents. Il s’agit du Gabon (7) judokas, du Cameroun (11) judokas et du Tchad, pays organisateur avec 37 judokas. Après deux jours de combats, le Tchad pays hôte a récolté au total 13 médailles dont quatre (4) en or, quatre (4) en argent et cinq (5) en bronze. Le Gabon a obtenu deux (2) médailles en or, et une (1) en bronze. Au bas de l’échelle, le Cameroun avec une (1) médaille en or et deux (2) en argent. Le tournoi s’est déroulé dans le calme avec un esprit de fair-play surtout pour les vaincus qui ont accepté le verdict des arbitres sans broncher. A la cérémonie de clôture, Me Abakar Djarmah a indiqué que certes, sa fédération a osé, mais beaucoup reste à faire. Pour lui, cette 2e édition de TIVI N’Djam n’est qu’un test pour la Fédération Tchadienne de Judo. « Il faut attendre encore quelques années pour évaluer réellement le savoir faire de son institution », a-t-il conclu. M. Nicolas Messner, représentant de la Fédération International de Judo a, quant à lui, exprimé sa satisfaction du fait que ce tournoi s’est achevé dans de très bonnes conditions. Il espère que dans les années à venir le judo tchadien saura s’imposer dans cette discipline dans toute la sous région. Le représentant du Ministre de la Culture, de la Jeunesse et des Sports M. Youssouf Djibrine, en clôturant les activités de ce tournoi, a indiqué qu’à travers la FTJ, c’est tout le Tchad qui est honoré. Il a relevé que le gouvernement tchadien ne lésinera plus sur les moyens pour faire propulser le judo.

Une trentaine d’arbitres de différents niveaux suivent à partir de ce jeudi 24 février 2011 un stage de perfectionnement en arbitrage de judo au CEFOD. Organisé par la Fédération Tchadienne de Judo en partenariat avec l’Union Africaine de Judo, ce stage permettra aux arbitres de cette discipline qui fait partie des arts martiaux de relever leur niveau.

Prennent part à cette formation , des arbitres tchadiens et étrangers venus à N’Djaména dans le cadre de la compétition internationale de judo qui va se dérouler du 26 au 28 février 2011 au ministère des Affaires Etrangères, de l’Intégration Africaine et de la Coopération Internationale.

Ouvrant les travaux de ce séminaire, le Secrétaire Général de l’Union Africaine de Judo, le Gabonais André Angoué a souligné que ce stage arrive à point nommé parce qu’il aura à permettre de rehausser le niveau des arbitres de la Sous Région. Le SG André Angoué a fait remarqué qu’actuellement le niveau mondial d’arbitrage est extrêmement élévé. « Au niveau de l’Afrique subsaharienne, il n’y aucun arbitre qui a atteint ce niveau, voilà pourquoi ce stage va vous permettre de vous mettre au même diapason que les autres et partant de développer le judo africain », a lancé André Angoué à l’endroit des stagiaires.

L’expert Tunisien Mhirsi Hedi, arbitre de niveau international et ceinture noire 7e Dan, a promis de donner le meilleur de lui-même pour rehausser le niveau d’arbitrage sur le continent africain. « Nous allons travailler durement afin qu’au sortir de cette formation, les stagiaires sentent quand même qu’ils ont appris quelque chose dans le domaine de l’arbitrage de judo, a-t-il indiqué. L’expert Tunisien a aussi souligné que les arbitres de nos jours ont une très grande responsabilité et que le rôle qu’ils sont appelés à jouer devient de plus en plus délicat. « Ceux-ci doivent par ailleurs jouer quelque fois sur leur palmarès et leur savoir-faire pour s’imposer ou se faire respecter », a- t-il conclu.

 

le Tchad prépare activement la compétition Le ministre de la Culture, de la Jeunesse et des Sports Djibert Younous a rencontré ce mardi, 22 février 2011 dans la salle de réunions dudit ministère sis à Farcha, les présidents, les vice-présidents, les rapporteurs et les responsables des fédérations sportives et culturelles en charge de l’organisation des jeux de la Cen-Sad. Pour asseoir les fondements d’une bonne préparation en vue de réussir la 2ème édition des jeux de la Cen-Sad prévue à N’Djamena du 18 au 28 octobre 2011, le ministre a exhorté les 14 commissions techniques composant le Comité National d’Organisation des Jeux (CNOJ) ainsi que le Secrétariat général des jeux à finaliser dans le délai requis les aspects non encore achevés. « Vous êtes au cœur du dispositif d’organisation générale des jeux de la Communauté des Etats Sahélo Sahariens confiés à notre pays, je vous exhorte à la réflexion, au travail pour relever le défi qui est le nôtre en donnant une bonne image du Tchad », a souligné le ministre. « Nous sommes à trois cent trente huit (338) jours du jour « j » et nous devons nous inscrire tous dans le respect de la mise en œuvre du chronogramme qui donnera sans nul doute la visibilité et l’efficacité à l’ensemble de nos actions de préparation », devait-il ajouter. Les responsables des différentes commissions ont tour à tour présenté l’état de lieux de leurs travaux et rassuré que tout sera apprêté pour que nos hôtes trouveront une bonne organisation et une ambiance fraternelle telle que souhaitée par la Communauté. En marquant son accord pour le report de cette grande messe culturelle et sportive de février à octobre 2011, le Président de la République a voulu donner une dimension particulière à l’ère du renouveau à la jeunesse de la Communauté afin que cette dernière puisse se positionner sur l’échiquier sportif international. Hassan Adoudou Bao